Dans un rapport, publié lundi par le Comité des libertés, le Syndicat indique aussi que plus de 20 journalistes ont été blessés lors de l’agression en cours, tandis qu’environ 20 maisons appartenant à des journalistes ont été bombardées, dont certaines ont été complètement détruites.
De plus, le Syndicat des journalistes a déclaré qu’environ 50 sièges et centres d’institutions médiatiques ont été bombardés par l’occupant israélien, notamment de la télévision Palestine, de l’agence de presse Ma’an, de l’agence Sawa et de l’agence Shihab.
La même source a souligné que l’interruption continue de l’électricité et d’Internet dans la bande de Gaza limitait la capacité des journalistes à poursuivre leur couverture de l’agression dans l’enclave palestinienne.
Dans son rapport, le Syndicat a noté que de nombreuses équipes de journalistes ont été battues, arrêtées, détenues, ou empêchées de couvrir les évènements.
En outre, 22 cas de détention et d’interdiction de travail d’équipes, 10 agressions et 7 cas de saisie et de destruction de matériel de journalistes, en plus du brouillage des émissions de la chaîne Al-Aqsa, a-t-il ajouté.
Le bilan des agressions menées depuis le 7 octobre par les forces de l’occupation israélienne dans la bande de Gaza et en Cisjordanie occupée s’est élevé, lundi à 2.808 morts et 10.950 blessés parmi les Palestiniens, a annoncé le ministère palestinien de la Santé.