En effet, cette amélioration a été rendue possible grâce à l’élargissement des surfaces irriguées. Selon le responsable, « en 2000, la superficie des terres irriguées était de 400.000 ha. La superficie des terres irriguées est passé à 1,4 millions d’hectares en 2020. Nous envisageons d’atteindre 2,5 millions ha en 2023 », affirme Djeribia dans une déclaration à la chaine 3 de la radio nationale.
Par ailleurs, des obstacles freinent le développement des exploitations agricoles au sud, notamment le manque de financement et la bureaucratie. De son côté, l’agronome Fouad Chehad, déplore la lenteur de l’administration, qui demeure un obstacle à la mise en œuvre de nouvelles exploitations.