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Algérie – France : Tebboune en visite d’Etat à Paris en mai

Les relations algéro-françaises s’apaisent et se réchauffent de plus en plus et les deux chefs d’Etat ne cessent de le rappeler à chaque occasion. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu, ce dimanche 15 janvier, un appel téléphonique de son homologue français Emmanuelle Macron durant laquelle la visite du premier magistrat d’Algérie à Paris a été abordée.
© DR | Abdelmadjid Tebboune et son homologue Emmanuel Macron

Après s’être échangé les vœux du nouvel an, les deux présidents ont abordé des affaires concernant les relations bilatérales entre les deux pays. Cet appel a, aussi, permis aux deux responsables d’aborder le sujet de la visite d’Etat, en France, du président Abdelmadjid Tebboune. Celle-ci devrait intervenir, selon un communiqué de presse publié par les services de la présidence de la République algérienne, durant le mois de Mai.

Le communiqué de la présidence de la République vient confirmer les révélations des médias français de ces derniers jours. En effet, depuis l’interview accordée par le président français à l’hébdomadaire Le Point, où il avait annoncé qu’il allait inviter le président Tebboune à une visite officielle durant l’année 2023, de nombreux médias ont affirmé que celle-ci aura lieu en mars ou en mai.

C’est le cas de « Radio Classique » qui avait écrit sur son site que « La visite d’Etat, c’est le degré maximal en matière protocolaire. Cela veut dire des haltes à l’assemblée nationale, au sénat, à la mairie de Paris, des déplacements en région, un programme pour la conjointe. Bref, le tapis rouge déroulé pour Abdelmadjid Tebboune. La visite n’est pas encore officielle ; mais le Quai d’Orsay s’active en coulisse et a déjà prévenu plusieurs de nos institutions qu’elles auraient de la visite. La date prévue pour cet événement a d’abord été le 19 mars prochain, date symbolique s’il en est. Le 19 mars, c’est le jour du cessez-le feu en 1962. Mais le problème de cette date, c’est que les harkis comme les pieds noirs estiment que les violences se sont déclenchées à partir de l’arrêt officiel des hostilités, donc que c’est un mauvais symbole. Cela explique peut-être pourquoi le calendrier est en train d’être ajusté […] En tout cas, Emmanuel Macron ne s’économise pas sur le sujet ! ».

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