L’élection présidentielle du 7 septembre dernier est tout simplement inédite. Mais pas au sens positif. Ce rendez-vous politique d’extrême importance a été finalement un grand ratage. Sur tous les plans, ou presque. D’abord dans sa conception.
« Incompréhension », « indignation » et « colère »…Le candidat du mouvement de la société pour la paix (MSP), Abdelaali Hassani Chérif n’a pas lésiné sur les qualificatifs pour exprimer son courroux contre les résultats du scrutin présidentiel annoncés, dimanche en fin d’après-midi, par le président de l’Autorité indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi.
La proclamation des résultats provisoires des élections présidentielles anticipées a suscité beaucoup d’incompréhension, d’étonnement et de questions, en raison de leur ambiguïté, de leur imprécision, de l’opacité qui les entoure, mais surtout des contradictions et incohérences qu’elles présentent. Ce qui a surtout surpris, c’est l’utilisation par le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi, d’un « nouveau concept biaisé » destiné à tromper l’opinion publique nationale et à l’induire en erreur. Quelles sont les raisons qui ont poussé Charfi à agir ainsi ? Analyse.
La campagne électorale tire à sa fin. Les candidats à la présidentielle du 7 septembre prochain et leurs représentants effectuent leurs dernières sorties avant le silence électoral. Ils s’activent sur le terrain en vue de convaincre les hésitants d’aller exprimer leurs voix et faire augmenter ainsi le taux de participation, devenu l’enjeu majeur de cette joute politique.
La militante des droits de l’homme et coprésidente du congrès mondial amazigh (CMA), Kamira Naït Sid retrouve enfin sa liberté, trois ans après son incarcération. La détenue d’opinion a quitté sa cellule à la prison de Koléa, ce matin, où elle a été accueillie par sa mère et un groupe de militants.
«Votez, votez en masse ! ». Cet appel revient dans toutes les sorties des candidats à la présidentielle du 7 septembre prochain et leur représentant. À trois jours de la fin de la campagne électorale qui prendra fin mardi prochain à minuit, les trois prétendants à la magistrature suprême insistent sur la participation massive à ce scrutin, qui est le principal, si ce n’est l’unique, enjeu de cet échéance.
Meetings, rencontres de proximités et … promesses en tous genres. A quatre jours de la fin de la campagne et l’imposition du silence électoral, les candidats à la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain mettent les bouchées doubles en vue de convaincre les électeurs d’aller voter massivement.
Le candidat indépendant à la présidentielle du 7 septembre prochain, Abdelmadjid Tebboune fait de nouvelles promesses à la population du Grand Sud. C’est à partir de Djanet où il a animé, ce jeudi, son troisième meeting populaire depuis le début de la campagne électorale, le chef de l’état sortant a choisi de s’adresser aux électeurs de cette vaste région du pays.
Les candidats à l’élection présidentielle du 7 septembre, ainsi que leurs représentants tentent désormais de convaincre les électeurs à voter en faveur de leur programme. Au 12e jour de cette compétition, chacun des prétendants à la magistrature suprême focaliser la dernière dizaine sur l’essentiel : mettre en valeur leurs principaux engagements, à l’effet de peser sur le choix des votants.
Au moins 21 civils, dont 11 enfants ont été tués et des dizaines d’autres ont été blessés, ce dimanche, à Tin Zawatine, près de la frontière Sud de l’Algérie, suite à une attaque de drones de l’armée malienne. C’est ce qu’ont dénoncé les mouvements de l’Azawad, réunis sous le CSP-DPA, dans un communiqué rendu public.
L’élection présidentielle du 7 septembre dernier est tout simplement inédite. Mais pas au sens positif. Ce rendez-vous politique d’extrême importance a été finalement un grand ratage. Sur tous les plans, ou presque. D’abord dans sa conception.
« Incompréhension », « indignation » et « colère »…Le candidat du mouvement de la société pour la paix (MSP), Abdelaali Hassani Chérif n’a pas lésiné sur les qualificatifs pour exprimer son courroux contre les résultats du scrutin présidentiel annoncés, dimanche en fin d’après-midi, par le président de l’Autorité indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi.
La proclamation des résultats provisoires des élections présidentielles anticipées a suscité beaucoup d’incompréhension, d’étonnement et de questions, en raison de leur ambiguïté, de leur imprécision, de l’opacité qui les entoure, mais surtout des contradictions et incohérences qu’elles présentent. Ce qui a surtout surpris, c’est l’utilisation par le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), Mohamed Charfi, d’un « nouveau concept biaisé » destiné à tromper l’opinion publique nationale et à l’induire en erreur. Quelles sont les raisons qui ont poussé Charfi à agir ainsi ? Analyse.
La campagne électorale tire à sa fin. Les candidats à la présidentielle du 7 septembre prochain et leurs représentants effectuent leurs dernières sorties avant le silence électoral. Ils s’activent sur le terrain en vue de convaincre les hésitants d’aller exprimer leurs voix et faire augmenter ainsi le taux de participation, devenu l’enjeu majeur de cette joute politique.
La militante des droits de l’homme et coprésidente du congrès mondial amazigh (CMA), Kamira Naït Sid retrouve enfin sa liberté, trois ans après son incarcération. La détenue d’opinion a quitté sa cellule à la prison de Koléa, ce matin, où elle a été accueillie par sa mère et un groupe de militants.
«Votez, votez en masse ! ». Cet appel revient dans toutes les sorties des candidats à la présidentielle du 7 septembre prochain et leur représentant. À trois jours de la fin de la campagne électorale qui prendra fin mardi prochain à minuit, les trois prétendants à la magistrature suprême insistent sur la participation massive à ce scrutin, qui est le principal, si ce n’est l’unique, enjeu de cet échéance.
Meetings, rencontres de proximités et … promesses en tous genres. A quatre jours de la fin de la campagne et l’imposition du silence électoral, les candidats à la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain mettent les bouchées doubles en vue de convaincre les électeurs d’aller voter massivement.
Le candidat indépendant à la présidentielle du 7 septembre prochain, Abdelmadjid Tebboune fait de nouvelles promesses à la population du Grand Sud. C’est à partir de Djanet où il a animé, ce jeudi, son troisième meeting populaire depuis le début de la campagne électorale, le chef de l’état sortant a choisi de s’adresser aux électeurs de cette vaste région du pays.
Les candidats à l’élection présidentielle du 7 septembre, ainsi que leurs représentants tentent désormais de convaincre les électeurs à voter en faveur de leur programme. Au 12e jour de cette compétition, chacun des prétendants à la magistrature suprême focaliser la dernière dizaine sur l’essentiel : mettre en valeur leurs principaux engagements, à l’effet de peser sur le choix des votants.
Au moins 21 civils, dont 11 enfants ont été tués et des dizaines d’autres ont été blessés, ce dimanche, à Tin Zawatine, près de la frontière Sud de l’Algérie, suite à une attaque de drones de l’armée malienne. C’est ce qu’ont dénoncé les mouvements de l’Azawad, réunis sous le CSP-DPA, dans un communiqué rendu public.
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