Poursuivant, le collectif, lit-on dans le même communiqué, « exprime son profond regret face à la situation désastreuse des droits de l’homme, marqué par la répression et de graves restrictions visant les défenseurs des droits de l’homme en Algérie ».
« Le collectif de défense des détenus d’opinion exprime son rejet absolu de toutes les formes de restriction et de pression imposées par les autorités, qui sont totalement contraires à la Constitution et aux conventions internationales pertinentes ratifiées par l’Algérie », ajoute le même document.
Le collectif « rappelle, dans la foulée, aux autorités leurs obligations en matière de garantie et de protection des libertés et annonce qu’elle suit la situation du confrère avec attention et vigilance ».