Répondant à une question sur ce sujet, il affirme « qu’il est plus que trop tôt » pour parler de deuxième mandat. « Nous ne sommes pas aux États Unis pour parler des élections de mi-mandat. Il nous reste plus deux ans pour réaliser les engagements pris et ensuite c’est au peuple de juger », dit-il, sans nier sa volonté de briguer un second mandat.
Ces dernières semaines, rappelons-le, quelques organisations ont lancé des appels aux chefs de l’Etat l’invitant à se représenter à un second mandat à l’occasion de la prochaine présidentielle, prévue fin 2024. La première réponse est venue via une dépêche de l’agence officielle, APS, affirmant que la « priorité du président Tebboune n’est pas la prochaine présidentielle ». Selon la même source, « le temps des comité de soutien est révolu ».