Les forces de l’alternative démocratiques dénonce l’obstination du pouvoir de par « la répression, le verrouillage médiatique, la désinformation, à imposer la restauration du régime par le passage en force d’un troisième simulacre de scrutin présidentiel, malgré le rejet populaire massif de cet agenda ».
Pour le FAD « l’instrumentalisation de l’appareil judiciaire ne suffisant plus, le pouvoir veut faire adopter par un Parlement croupion, un amendement levant le contrôle des magistrats sur la police judiciaire et attentant gravement aux principes d’équité et d’indépendance de la procédure pénale », lit-on dans le communiqué.
« Les poursuites judiciaires seront libérées de toute tutelle des magistrats. La voie est ouverte pour faire du juge l’exécutant forcé d’expéditions policières permanentes contre tout citoyen soucieux d’exercer ses droits« , poursuit FAD.
« Au plan externe, le système travaille à l’isolement de la révolution démocratique. Le pouvoir tente de s’assurer le silence des États et institutions internationales à coup de concessions économiques et politiques. Il aurait même engagé sa diplomatie pour imposer un embargo médiatique contre l’exigence de liberté de son propre peuple », dénoncent-ils encore.
Réitérant leur rejet de la feuille de route du pouvoir en place les forces du Pacte pour l’alternative démocratique soutiennent et appellent à rejoindre la grève générale du 28 octobre initiée par les syndicats et toutes les marches populaires pacifiques organisées contre le maintien du système autoritaire et de ses clans mafieux et la marche nationale du 1er Novembre prochain pour un renouveau historique de l’esprit de la révolution algérienne de libération afin de concrétiser les aspirations démocratiques et sociales du peuple en libérant le citoyen(ne) et en se réappropriant l’Etat, conclut le communiqué.
Pour le FAD « l’instrumentalisation de l’appareil judiciaire ne suffisant plus, le pouvoir veut faire adopter par un Parlement croupion, un amendement levant le contrôle des magistrats sur la police judiciaire et attentant gravement aux principes d’équité et d’indépendance de la procédure pénale », lit-on dans le communiqué.
« Les poursuites judiciaires seront libérées de toute tutelle des magistrats. La voie est ouverte pour faire du juge l’exécutant forcé d’expéditions policières permanentes contre tout citoyen soucieux d’exercer ses droits« , poursuit FAD.
« Au plan externe, le système travaille à l’isolement de la révolution démocratique. Le pouvoir tente de s’assurer le silence des États et institutions internationales à coup de concessions économiques et politiques. Il aurait même engagé sa diplomatie pour imposer un embargo médiatique contre l’exigence de liberté de son propre peuple », dénoncent-ils encore.
Réitérant leur rejet de la feuille de route du pouvoir en place les forces du Pacte pour l’alternative démocratique soutiennent et appellent à rejoindre la grève générale du 28 octobre initiée par les syndicats et toutes les marches populaires pacifiques organisées contre le maintien du système autoritaire et de ses clans mafieux et la marche nationale du 1er Novembre prochain pour un renouveau historique de l’esprit de la révolution algérienne de libération afin de concrétiser les aspirations démocratiques et sociales du peuple en libérant le citoyen(ne) et en se réappropriant l’Etat, conclut le communiqué.