Le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Mohamed Djemaï a affirmé, mardi à Alger, que l’objectif principal des initiatives de dialogue « ne doit pas sortir du cadre de la préparation à une élection présidentielle consensuelle« .
Le SG du FLN explique que « le dialogue nécessite la réunion de toutes les conditions nécessaires pour l’organisation d’une élection permettant au peuple de choisir son président« , saluant « le travail effectué par l’Instance nationale de dialogue et de médiation dans ce sens« .
Pour Djemaï, « La solution à la crise que traverse l’Algérie réside dans l’organisation d’une élection présidentielle consensuelle« , a-t-il souligné lors de la réunion du bureau politique du FLN tenue à la veille de la conférence nationale du dialogue initiée par le parti. Dans ce contexte, Djemaï a mis l’accent sur la nécessité à ce que le dialogue soit « loin de toutes sortes d’exclusion« .
Le SG du FLN a tenu à affirmer que sa formation politique « croit profondément en le dialogue en tant que voie pour la résolution de tous ces problèmes » avant de mettre en exergue les efforts déployés par la présidence de la République pour « réunir toutes les conditions dans le but de trouver des issues à la crise que vit le pays« . Il a salué par la même, l’institution militaire qui a été « en phase avec les revendications populaires ».
Il a mis en garde, à ce titre, contre une sortie du cadre constitutionnel qui, a-t-il dit « conduira à une impasse dont le prix sera supporté par le peuple », ainsi que des dangers que renferme l’option de la période de transition.
Le SG du FLN s’est dit, par ailleurs, convaincu de la capacité de l’Algérie à sortir de sa crise, « à l’instar de toutes les situations difficiles qu’elle a connu tout au long de son histoire, notamment durant la période coloniale« .
M. Djemaï a inscrit les tentatives conduites par certaines parties pour « entraver le plan tracé par le courant national, attaché à l’unité et l’identité nationales« , dans le cadre de pratiques héritées du colonialisme français.
Par ailleurs, M. Djemaï a évoqué l’ordre du jour de la conférence de demain qui constituera « un espace de dialogue sur les différents mécanismes devant permettre au pays de sortir de la crise ».
Cette conférence, poursuit-il, verra la présence de « 1200 cadres« , des participants non membres du FLN et des juristes, qui débattront des défis juridiques et constitutionnels propres à la conjoncture et des risques qu’encourt le Hirak et « les revendications populaires légitimes exprimées par la rue et adoptées par les institutions de l’Etat« .
Pour Djemaï, « La solution à la crise que traverse l’Algérie réside dans l’organisation d’une élection présidentielle consensuelle« , a-t-il souligné lors de la réunion du bureau politique du FLN tenue à la veille de la conférence nationale du dialogue initiée par le parti. Dans ce contexte, Djemaï a mis l’accent sur la nécessité à ce que le dialogue soit « loin de toutes sortes d’exclusion« .
Le SG du FLN a tenu à affirmer que sa formation politique « croit profondément en le dialogue en tant que voie pour la résolution de tous ces problèmes » avant de mettre en exergue les efforts déployés par la présidence de la République pour « réunir toutes les conditions dans le but de trouver des issues à la crise que vit le pays« . Il a salué par la même, l’institution militaire qui a été « en phase avec les revendications populaires ».
Il a mis en garde, à ce titre, contre une sortie du cadre constitutionnel qui, a-t-il dit « conduira à une impasse dont le prix sera supporté par le peuple », ainsi que des dangers que renferme l’option de la période de transition.
Le SG du FLN s’est dit, par ailleurs, convaincu de la capacité de l’Algérie à sortir de sa crise, « à l’instar de toutes les situations difficiles qu’elle a connu tout au long de son histoire, notamment durant la période coloniale« .
M. Djemaï a inscrit les tentatives conduites par certaines parties pour « entraver le plan tracé par le courant national, attaché à l’unité et l’identité nationales« , dans le cadre de pratiques héritées du colonialisme français.
Par ailleurs, M. Djemaï a évoqué l’ordre du jour de la conférence de demain qui constituera « un espace de dialogue sur les différents mécanismes devant permettre au pays de sortir de la crise ».
Cette conférence, poursuit-il, verra la présence de « 1200 cadres« , des participants non membres du FLN et des juristes, qui débattront des défis juridiques et constitutionnels propres à la conjoncture et des risques qu’encourt le Hirak et « les revendications populaires légitimes exprimées par la rue et adoptées par les institutions de l’Etat« .