Elle offre ainsi la deuxième médaille d’or pour l’Algérie après celle obtenue, il y a quelques jours, par la gymnaste, Kaylia Nemour. Ainsi, Imane Khelif inscrit son nom sur le marbre des jeux olympique et marque l’histoire de cette édition.
Pas seulement. Elle clouera le bec à ses détracteurs, notamment au sein de la fédération internationale de la boxe (IBA) qui lui ont déclaré la guerre, en allant même jusqu’à organiser une conférence de presse consacrée à Imane Khelif, qui bénéficie, fort heureusement, du soutien du comité olympique international (CIO).
Cet environnement hostile l’a suivi depuis son entrée en lice. Son affaire a même été portée au conseil de sécurité de l’ONU par le représentant russe qui n’a rien trouvé pour attaquer le monde occidental que d’impliquer la boxeuse algérienne.
Il s’agit de la deuxième médaille d’or olympique décrochée par l’Algérie en boxe, après celle obtenue par Hocine Soltani aux JO d’Atlanta en 1996.