L’Agence Reuters a ainsi rapporté ce mercredi que le dirigeant de la Sontrach et son homologue de Saipem ont décidé de « régler leurs différents » à l’amiable. Il n’y aura donc aucun recours à la justice et les conflits en cours vont probablement être retirés. « C’est un grand jour pour Saipem et pour moi », a notamment indiqué le PDG de Sonatrach, selon l’agence britannique. Cet accord « ouvrira des opportunités pour l’entreprise dans les années à venir ».
Les litiges entre les deux parties concernent notamment 4 accords. L’un de ces contrats a trait à la construction, non-achevée, d’un site pour le compte de la Sonatrach. Le retard enregistré est estimé par la compagnie algérienne à 180 millions de dollars. A ce stade, il est difficile d’établir le lien entre cet accord et le procès ENI, la maison mère de Saipem, qui se déroule actuellement en Italie.