La défunte a été inhumée en présence des autorités locales et d’un certain nombre de moudjahidines.
Eliette avait une attache à l’Algérie, elle avait adhéré à la Glorieuse révolution de libération, qui était pleine de justesse, de valeurs élevées et d’une idéologie humanitaire pour la libération. Elle avait enduré les pires souffrances et tortures, mais elle n’avait jamais abandonné ses principes jusqu’à ce que l’Algérie soit libérée.
Laïd Rebiga, le ministre des Moudjahidines et des Ayants droit, avait adressé ses sincères condoléances et ses profonds sentiments de compassion à la famille de la défunte, il a déclaré que la perte de cette figure symbolique signifiait que l’Algérie avait perdu une militante fervente de la cause nationale, qui était animée de l’espoir de la victoire et de la conviction de briser le joug colonial.