En l’absence du premier secrétaire et candidat malheureux à la dernière présidentielle, c’est Aissaoui qui a présidé cette fois la cérémonie commémorative de cet événement, organisée à M’douha (Tizi-Ouzou).
À cette occasion, l’orateur a commencé par rappeler «les engagements passés et présents du FFS depuis sa création en 1963, en faveur d’un dialogue national entre l’ensemble des forces politiques pour un pacte national politique et social ».
Dernière proposition du parti, ce pacte, dit-il, est à même de « renforcer l’Etat et ses institutions, renforcer et consacrer une véritable démocratie en ouvrant la voie à une nouvelle vie politique ». Ce dialogue, ajoute-t-il, permettra également d’encourager les citoyens à s’impliquer davantage dans l’exercice de la politique.
Tout en appelant à réhabiliter les militants du FFS de 1963, Azzedine Aissaoui énumère également une série de demandes, dont la libération des détenus d’opinion, l’arrêt de la gestion sécuritaire de la vie publique et l’abrogation de l’article 87 bis du code pénal.