En présence d’une trentaines d’avocats, le journaliste Adlene Mellah a été relâché aujourd’hui 22 novembre 2018 et son procès est reporté jusqu’au 07 février prochain. Après un procès qui a duré 15 minutes, « on se félicite de la libération du journaliste Adlene Mellah, c’est le droit qui a triomphé. La place du journaliste n’est pas en prison, tel que le stipule l’article 50 de la constitution, ainsi que la loi organique relative à l’information de 2012 ». Encore une fois, le procès du journaliste en question, est un procès purement politique, car « Il n’a rien de judiciaire » dénonce maitre Zoubida Assoul.
Lors du procès prévu le 07 février, « nous allons démontrer que ce n’est rien d’autre qu’un dossier politique » insiste l’avocate qui s’est constituée avec plusieurs autres avocats.
