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L’UCP de Zoubida Assoul dans le viseur du ministère de l’intérieur

Le ministère de l’intérieur et des collectivités locales et de l’aménagement du territoire s’en est pris hier, jeudi 22 février, au parti de l’Union pour le changement et le Progrès (UCP) de Zoubida Assoul. Le département de Kamel Beldjoudi annonce que le parti en question est en situation « illégale », et des « poursuites judiciaires » sont engagées. Pour l’heure, l’UCP « répondra à travers un communiqué aujourd’hui 23 avril » avons-nous appris auprès de Zoubida Assoul.

Le ministère de l’intérieur avait annoncé que ses services ont « enregistré la situation illégale du parti Union pour le changement et le progrès (UCP) et la non-conformité de ses activités à la législation en vigueur, à savoir la loi organique n° 04.12 relative aux partis politiques », est-il écrit dans le communiqué.

La même source avait précisé que « Mme Zoubida Assoul poursuit ses activités sous couvert de la présidence du parti (UCP, ndlr), en dépit de l’absence d’un statut juridique, conformément aux dispositions de le loi fondamentale du parti », a précisé le ministère de l’Intérieur, estimant que la concernée est « allée trop loin avec des comportements en contradiction avec les dispositions régissant le travail des parti politiques ».

Le département de Beldjoudi a engagé les procédures légales devant les autorités judiciaires compétentes « vu que le parti (UCP, ndlr) n’a pas répondu à la mise en demeure qui lui a été adressée pour régulariser sa situation, il a engagé les procédures légales devant les autorités judiciaires compétentes ».

Les services du ministère de l’intérieur en charge des partis politique ont été pointés du doigt par beaucoup de militants politiques qui ont dénoncé une « tentative de casser les partis qui n’ont pas participé aux élections législatives » en donnant l’exemple de la « tentative de redressement du Parti des Travailleurs (PT) » ainsi que « l’achernement contre le Rassemblement de la Culture et le Démocratie (RCD qui a cumulé plusieurs menaces liées à son siège et l’harcèlement judiciaire de son président Mohcine Belabbes« .

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