L’UNRWA a expliqué dans un message sur la plateforme X qu' »avec un accès minimal à l’eau potable dans la bande de Ghaza et la chaleur estivale continue, il existe de réelles craintes d’une éventuelle épidémie de choléra à Ghaza, qui détériorerait encore davantage les conditions de vie inhumaines ».
L’UNRWA a conclu en disant que « la population de Ghaza a besoin d’un cessez-le-feu immédiat ».
Depuis le 7 octobre 2023, l’agression israélienne contre Ghaza a fait plus de 120.000 martyrs et blessés palestiniens, pour la plupart des enfants et des femmes, et plus de 10.000 personnes sont portées disparues, dans un contexte de destruction massive et de famine qui a coûté la vie à des enfants et à des personnes âgées.