Ali Aoun affirme qu’actuellement « la production nationale de médicaments couvre plus de 50 % des besoins du marché national ». « Ce chiffre devrait augmenter vu les incitations accordées aux opérateurs économiques et la mise en service de nouvelles unités de production », soutient-il.
Le premier responsable du secteur affirme également « qu’il y a un grand espoir en 2023 de couvrir une partie des médicaments liés au diabète et aux cancers grâce à la production locale », expliquant que le développement de l’industrie pharmaceutique localement, en particulier les produits nécessaires aux maladies chroniques, est devenu « plus que nécessaire » pour les mettre à la disposition des institutions, des hôpitaux et des patients.
Concernant la possibilité d’exporter à l’étranger, notamment vers les pays africains, Ali Aoun que « la pénétration de nouveaux marchés se fera progressivement et s’étalera sur le long terme ».