Ignorant les revendications du Hirak et après avoir été interrogé par la journaliste de la chaîne au sujet de ce qui se passe sur la scène politique algérienne actuelle, M. Chorfi déclare qu’il « ne faut pas regarder ces événements du côté de ceux qui s’y opposent, généralement des jeunes, mais il faut prendre en considération ceux qui soutiennent le processus électoral ».
Il appuie ses propos sur le fait que l’ANIE est une autorité indépendante qui se doit de veiller à la bonne tenue des élections, dans un pays totalement démocratique qui ouvre la chance à tous les candidats potentiels de se présenter. Et ce, bien qu’il sache pertinemment que certains médias (surtout publics) boycottent et/ou dénaturent depuis des mois les manifestations du Hirak sous la pression du pouvoir.
