La nouvelle a vite fait le tour des réseaux sociaux et les internautes ont exprimé leur tristesse après la disparition de celui qui a bercé, de longues années durant, des générations entières de mélomanes.
« Je viens de recevoir une triste nouvelle de la part de l’artiste Safy Boutella, que le grand artiste algérien, l’un des maîtres de la chanson kabyle Djamel Allam (71 ans) est décédé après une longue maladie, dans un hôpital Parisien », écrit le ministre de la culture, Azzedine Mihoubi sur sa page Twitter, en présentant « ses sincères condoléances à toute la famille ».
je viens de recevoir un triste nouvelle de la part de l’artiste Safy Boutella, que le grand artiste algérien, l’un des maîtres de la chanson kabyle #Djamel Allam (71 ans) est décédé après une longue maladie, dans un hôpital Parisien.
Nos sincères condoléances à toute la famille. pic.twitter.com/4MU4RDirlX— azzedine mihoubi (@azzedinemihoub3) September 15, 2018
Le monde de la chanson algérienne est à nouveau endeuillé. Quelques jours après la disparition Rachid Taha, un autre monument vient de tirer sa révérence. Il s’agit de Djamel Allam qui décédé, ce samedi à Paris, à l’âge de 71 ans. Le chanteur luttait depuis plusieurs mois contre le cancer.
Né en 1947 à Bejaia, Djamel Allam apprend la musique au conservatoire de la ville sous la direction de Sadek Bedjaoui. Il a connu une notoriété internationale grâce notamment à la chanson Argu (Rêve) puis M’ara d-yughal (Quand il reviendra).
L’artiste compte à son actif de nombreux albums et plusieurs musiques de films dont « Prends dix milles balles et casse-toi » et « La plage des enfants perdus ». Il s’est produit dans plusieurs scènes et côtoiera de noms illustres comme Jean Ferrat.