Jeudi dernier, le représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies, M. Amar Bendjama, avait réitéré son appel, devant les membres du Conseil de sécurité, à un cessez-le feu «immédiat» à Ghaza et au Liban, soulignant la nécessité de mettre en œuvre la résolution 1701 du Conseil de sécurité.
Bendjama avait également rappelé lors d’une réunion du Conseil de sécurité sur la «situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne», tenue la semaine dernière, que les résolutions du Conseil de sécurité interdisaient formellement l’utilisation de la famine comme arme de guerre.
L’entité sioniste «tend à soumettre les Palestiniens de Ghaza à une mort lente, à travers la famine et l’intensification des blocus tout en entravant l’acheminement de l’aide humanitaire», avait dénoncé le représentant algérien auprès de l’ONU.
Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza s’est alourdi mardi à 42 344 martyrs et 99 013 blessés, en majorité des femmes et des enfants, depuis le 7 octobre 2023.
Avec APS