Le tribunal de Mostaganem a condamné, ce lundi 30 novembre, Madame Dalila Touat, porte parole des chômeurs dans la même ville, à une peine de 2 ans de prison ferme sans mandat dépôt assortie d’une amende de 20.000 dinars, a-t-on appris de son avocat Khemisti Farid.
Selon la même source, la défense fera appel du verdict dés demain. Par ailleurs, Dalila Touat est accusée d’avoir incité les citoyens à ne pas voter lors du référendum sur la Constitution (1 Novembre 2020) et « outrage a fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions ».