Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, M. Ahmed Attaf a ouvert les travaux de cette réunion lors de laquelle l’Algérie réaffirmera son engagement d’œuvrer, aux côtés du C10, à poursuivre le travail dans le cadre du processus de réforme du Conseil de sécurité, à réparer l’injustice historique imposée à l’Afrique et à veiller à ce que le Conseil dispose de davantage de légitimité et réponde avec efficacité aux défis croissants liés à la paix et à la sécurité.
L’Algérie avait, déjà, souligné, à maintes occasions, son engagement à contribuer aux efforts de renforcement et de promotion d’une position africaine unifiée, concernant la question de réforme du Conseil de Sécurité, notamment en sa qualité de membre non permanent de cet appareil onusien, et ce, selon une approche globale et intégrée visant à réparer l’injustice historique imposée au continent africain.
Une réunion préparatoire s’est tenue, dimanche, au niveau des experts en séances à huis clos, avec au menu un état des lieux sur les négociations gouvernementales internationales, outre la présentation et le débat du document final, avant son adoption.
Crée en 205, le C10 est composé de dix (10) pays africains, à savoir l’Algérie, la République du Congo, la Guinée équatoriale, le Kenya, la Libye, la Namibie, l’Ouganda, la Sierra Leone, le Sénégal et la Zambie. Il est chargé de renforcer et de soutenir la position africaine unifiée dans les négociations gouvernementales en cours dans le cadre de l’ONU sur la réforme du Conseil de sécurité.