Les trois prétendants ont été auditionnés, ce dimanche, dans le cadre de l’enquête ouverte sur l’achat des signatures des élus pour la validation des dossiers de candidature à la prochaine présidentielle. Ils sont accusés d’octroi «d’indus avantages à fonctionnaires».
Le juge a décidé, en revanche, de placer sous mandat de dépôt 68 personnes, dont des élus locaux. Six autres personnes ont, par contre, été libérées.
Jeudi dernier, le procureur général près le tribunal d’Alger avait annoncé l’ouverture d’une enquête approfondie sur cette affaire qualifiée «de corruption politique».