Quelques jours plus tard, il est transféré à la prison de Ain Ouessara. Une décision qui s’apparente, selon les observateurs, à une nouvelle punition. Dans un communiqué rendu public le jour même, le parti des travailleurs (PT) qualifie ce transfert « d’acharnement ».
Le PT rappelle « qu’en démocratie, aucun journaliste ne peut faire ne serait-ce qu’un seul jour de prison pour ses écrits ou activités journalistiques. »
Le parti des travailleurs rappelle aussi que le délit de presse est sensé avoir été aboli depuis 2016. Il appelle ainsi à la libération de tous les journalistes emprisonnés pour délit de presse, ainsi que tous les détenus politiques et d’opinion.
Écrire à Madjid Makedhi