La même source a précisé, dans une déclaration exclusive à INTERLIGNES, que « cette information n’est pas fondée » tout en rappelant que « l’Algérie reste fidèle à sa doctrine en matière de politique extérieure », qui est basée sur le principe de « non-ingérence dans les affaires internes des autres états, comme elle refuse que les autres Etats se mêlent de ses affaires internes ».
Pour rappel, Le leader du parti islamiste tunisien Ennahda, Rached Ghannouchi a été arrêté, lundi 17 avril, par la police à son domicile à Tunis, a indiqué le parti Ennahda dans un communiqué.
La présidence de la république tunisienne a publiée quelques heures plus tard un communiqué révélant les chefs d’inculpations retenus contre le leader d’Ennahda, à savoir « complot contre la sécurité intérieure de l’Etat » et « incitation des citoyens à s’entre attaquer » conformément aux articles 68 et 72 du code pénal.
Le parti d’Ennahda ainsi que plusieurs organisations internationales ont exprimé « leur inquiétude » suite à l’arrestation de Rached Ghannouchi.